Jean Luc Molet y María Florencia Demarco visitaron el MUM.
Noticias y Novedades - feb 2012
Segunda quincena de febrero.
22/02/12 - Museo Usina Molet
Novedades en el MUM
Jean Luc Molet y María Florencia Demarco visitaron el MUM.
Con el Carnaval retornó el agua al dique Molet.
El detalle:
Jean Luc Molet y María Florencia Demarco visitaron el MUM.
Los días 11 y 12 de febrero visitaron el MUM Jean Luc Molet -sobrino nieto de Alfredo Molet- y la Ing. María Florencia Demarco en su doble rol de donante de las obras pintadas por Alfredo Benoit Molet y como traductora de Jean Luc.
La cita oficial se produjo el sábado a las 10 de la mañana, momento que contó con la presencia de algunos amigos del museo y de medios de prensa de la ciudad de Córdoba.
Lo publicado el día domingo 19 de febrero por el diario La Voz del Interior en la contratapa de la sección Turismo, puede consultarse ingresando en: http://www.lavoz.com.ar/suplementos/turismo/cordoba/se-hizo-luz-usina
El programa "Caminos del Interior" -que emite Canal Doce los sábados en el horario de 11:30 a 12:30- aloja en su sitio todas sus emisiones, por lo que es posible acceder al programa de sábado 18, donde entre otros temas está la nota sobre la visita al museo de Jean Luc y Florencia. Para verlo se debe ingresar en:http://www.caminosdelinterior.com/videos/483/
El domingo, los visitantes regresaron al MUM para recorrer sus instalaciones sin apuros ni distracciones.
Con el Carnaval retornó el agua al dique Molet.
Después de dos veranos de sequía, en época del Carnaval de 2012 volvió a llenarse el dique San Roque, dejando pasar los excesos de agua por el vertedero y sus válvulas, situación que posibilitó, -aguas abajo- el retorno de un espectáculo ya casi olvidado por los amigos del MUM y desconocido para la mayoría de los cordobeses: la cascada que se forma en el dique Molet y la impactante salida de agua por el canal de descarga.
Alfredo Benoît Molet
HISTORIQUE
Claude Molet
Claude Molet (né en 1557, mort à Paris le 23 mai 16471), dit Claude Ier Molet ou Claude Molet l'Ancien, est un jardinier, dessinateur de jardins et théoricien français.
Sommaire
Biographie
Fils de Jacques Ier Molet, jardinier au service du duc d'Aumale, il appartient à une grande « dynastie » de jardiniers qui travaillèrent pour les rois de France, d'Henri II jusqu'à Louis XV. Il est le père de Pierre Molet, Claude II Molet, André Molet, Jacques II Molet et Noël Molet.
Il est l'héritier de Jacques Boyceau, seigneur de la Baraudière, intendant des jardins de Louis XIII et Louis XIV, qui a publié en 1638 le Traité du jardinage selon les raisons de la nature et de l'art, en 3 volumes.
Premier jardinier du roi sous les règnes de Henri IV et Louis XIII, il partage la responsabilité des Tuileries avec Jean Le Nôtre, père d'André Le Nôtre, le jardinier de Louis XIV. Il intervient également à Fontainebleau et surtout au Château Neuf de Saint-Germain-en-Laye, où il dessine et entretient certains des parterres des jardins en terrasses. Il est, en outre, chargé en 1639, par Louis XIII, du remaniement du jardin de Versailles, à la suite deJacques Boyceau de La Barauderie.
Le 25 mai 1630, Claude I Molet obtient pour son fils Claude II Molet la survivance de ses fonctions de jardinier ordinaire des Tuileries. Il en a été demême par la suite avec Pierre, Charles, Armand-Claude Molet.
Œuvres
Il est l'auteur du Theatre des plans et iardinages, contenant des secrets et des inventions incognuës à tous ceux qui jusqu’à present se sont meslez d’escrire sur cette matiere..., qui fut publié, à titre posthume, à Paris chez Charles de Sercy en 1652, un an après leJardin de plaisir du plus célèbre de ses fils, André Molet, et qui fut réédité sous le titre Théâtre des jardinages en 1663, 1670 et 1678 chez le même imprimeur2.
Bibliographie
- Hervé Brunon, « Claude Molet, Théâtre des plans et jardinages (1652) », in Les Livres d’architecture. Manuscrits et imprimés publiés en France, écrits ou traduits en français (XVIe siècle - XVIIe siècle) [base numérique], sous la direction de Frédérique Lemerle et Yves Pauwels, Tours, Centre d’études supérieures de la Renaissance, notice mise en ligne le 7 octobre 2007.
- Michel Conan, « Claude Molet (v. 1563-v. 1649) et sa famille », in Créateurs de jardins et de paysages de la Renaissance au XXIe siècle, I, De la Renaissance au début du XIXe siècle, sous la direction de Michel Racine, Arles-Versailles, Actes Sud / École nationale supérieure du paysage, 2001, p. 23-31.
- (en) Sten Karling, « The Importance of André Molet and His Family for the Development of the French Formal Garden », in The French Formal Garden, sous la direction de Elizabeth. B. MacDougall et Francis H. Hazlehurst, Washington, DC, Dumbarton Oaks, 1974, p. 3-25.
BIOGRAPHIE Armand Claude Molet
Biographie
Il est issu d'une célèbre dynastie de jardiniers, fils de Charles Molet, jardinier au Louvre, petit-fils de Claude II Molet et arrière-petit-fils de Claude I Molet. La charge de dessinateur des jardins du roi lui revient après la mort de son père, mais il préfère se tourner vers l'architecture1, et entre à l'Académie royale d'architecture en 1699.
En 1718, il vend un terrain en sa possession, dans le faubourg Saint-Honoré, à Louis Henri de La Tour d'Auvergne, comte d'Évreux, qui le charge de construire un hôtel, édifié et décoré entre 1718 et 1722 : c'est le futur palais de l'Élysée. Il est également intervenu sur différents hôtels particuliers à Paris3. ( naissance en 1660 et décés en 1742 )
Henri-Louis de la Tour d'Auvergne, comte d'Evreux
Entre la Grande Rue du faubourg saint-Honoré, simple chaussée menant au village du Roule, et le Grand Cours (Champs-Elysées), le neveu par alliance d'André Le Nôtre, l'architecte Armand-Claude Molet, possédait un terrain qu'il vendit en 1718 à Henri-Louis de la Tour d'Auvergne, comte d'Evreux.
Le contrat de vente prévoyait qu'Armand-Claude Molet serait chargé d'y construire un hôtel, destiné à la résidence du comte d'Evreux.
Au début du XVIIIème siècle, l'actuel faubourg saint-Honoré n'était encore qu'une plaine traversée de pâturages et de cultures maraîchères, et de quelques maisons au toit de chaume.
Entre la Grande Rue du faubourg saint-Honoré, simple chaussée menant au village du Roule, et le Grand Cours (Champs-Elysées), le neveu par alliance d'André Le Nôtre, l'architecte Armand-Claude Molet, possédait un terrain qu'il vendit en 1718 à Henri-Louis de la Tour d'Auvergne, comte d'Evreux.
Le contrat de vente prévoyait qu'Armand-Claude Molet serait chargé d'y construire un hôtel, destiné à la résidence du comte d'Evreux.
L'architecte, à la demande du comte, éleva l'hôtel entre cour (côté rue) et jardin (côté Champs Elysées), formant le point de départ du plan d'urbanisme du faubourg Saint-Honoré. Dès 1742, Pignol de la Force évoquait déjà ce quartier, qu'il considérait comme l'un des plus beaux de Paris.